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viernes, 6 de julio de 2012

FRONT DE GAUCHE: avec la bureaucratie syndicale et le PS de l'invasion de la Syrie (Juan Marino, 6 juillet 2012)

FRONT DE GAUCHE: avec la bureaucratie syndicale et le PS de l'invasion de la Syrie

Le Front de gauche, formé par le Parti de Gauche (détachement du Parti socialiste) de Jean-Luc Mélenchon et le Parti communiste français (PCF) -qui est le majorité-, est partie de la bureaucratie syndicale, qui suffoqué la lutte pour les retraites, 2010, en refusant de se battre pour le retrait de l'Sarkozy projet.

Le front populaire de Mélenchon et PCF, puis voter pour F. Hollande au second tour, ne pas cherché devenir en une alternative de gauche au PS et opposer un programme de lutte de classe contre le PS (ce qui montre que leur vote «critique» peu était de «critique», parce que la seule critique réelle est celle qui s'exprime à travers la lutte contre l'Etat), ne se souciant pas que dans l'intervalle F. Hollande a appelé à l'OTAN d'envahir la Syrie.

Bien au contraire, le Front de gauche, sont à la recherche tous les moyens possibles pour rejoindre le gouvernement du PS. Il suffit de regarder les énoncés suivants par Pierre Laurent, secrétaire général du PCF et co-président du FG avec Mélenchon, déclarant que « Nous avons maintes fois réaffirmé que la prise en compte de nos propositions était évidemment un critère essentiel. Ces appels sont restés lettre morte, le président répé­tant à de nombreuses reprises que la seule bous­sole gouvernementale serait son programme de premier tour», affirmant que, selon eux, Hollande a été élu, "grâce notamment aux 4 millions de voix du Front de gauche". De même, Pierre Laurent a déclaré que " nous restons disponibles si ces conditions évoluaient », qui est, le Front de gauche se démarque clairement comme un satellite du PS (www.pcf.fr, 25/6)... tandis que le PS attaque sur le FG et se transformé plus à droite.

Le Front de Gauche, après personnifient la «remontée de la gauche» au premier tour de l'élection présidentielle, selon Jorge Altamira, a été subordonnée à la social-démocratie au cours du ballotage, et est entré dans une crise totale par son orientation ouvertement réformiste. Cela est démontré par las eléctiones législatifs: Mélenchon, candidat à la présidence, a déclaré que «il y a eu une carence de direction politique", et ainsi "2 millions de voix sont perdus» (le moyen!), parce que "c'est un programme et une orientation qu'il fallait défendre, pas simplement essayer de sauver sa peau chacun dans son coin» (L'Express, 25/6). Donc, Mélenchon accuse son propre front comme une coopérative électoral. Pierre Laurent compris cela comme une attaque claire sur son parti (ne pouvait pas en être autrement, car ils se sont concentrés la force régionale), et se rendit à y répondre qui Mélenchon se doit "se garder de réactions caricaturales» (Le Monde, 26/6). Le Parti de Gauche déclenche »ni avec la majorité, ni avec l'opposition, a conquis l'autonomie», tandis que André Chassaigne, député par le PCF et futur président du groupe parlementaire du FG et les cinq sélectionnés à l'étranger, est considéré comme «plus dans le cadre d'une majorité de gauche, même sous une forme parlementaire de la solidarité» (Mediapart, 20/6). Ainsi donc, ces variantes au sein du Front, n'est recherché être pas une opposition de gauche (et basée sur la lutte des classes) contre le gouvernement de F. Hollande, mais oui ses variantes de appui à partir de la gauche.

Le FG a été transformé de ce fait dans l'instrument et le tremplin pour le PS, mais plus sclérifié et détaché du mouvement de masse. Derrière un discours sur une politique fiscale plus progressif sur «les riches» et moins «dureté» de Merkel avec les pays de l'UE, à savoir un vote contre l'alliance "Merkozy" et la politique de droite de l'UMP, le contenu réel du vote par le PS a été révélé par son directeur de campagne: il a dit, permettrait d'assurer " "le moment pour une droite rigidité et une gauche faible, c'est fini. Nous serons responsables et crédibles. Quelles que soient les difficultés, nous allons réduire le déficit et la dette, nous ne pas dépenser plus" (Financial Times, 7/1).

En conclusion: comme TPR, nous avons à constater que
1)            «La remontée de la gauche» qui présentent  Jorge Altamira et le PO, à la fois en Grèce et en France, sont en fait, des signes de la remontée du front populaire. El FG est contraire à promouvoir la lutte des masses, parce que est contre eux.
2)            Il est incorrect du homologation Syriza ou Front de Gauche (front-populiste réformisme) avec le Front de gauche (FIT) de l'Argentine. Le FIT est une formation centriste a fait le jeu et a joué un rôle progressiste dans la lutte politique de notre pays.

Juan Marino,
Au nom du Comité central de la Tendance Piquetera Révolutionnaire (TPR)
6 juillet 2012
Buenos Aires, Argentina
www.tpr-internet.blogspot.com // tpr.internacional@gmail.com

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